Lorsque j’ai vu l’œuvre de Michel Plante, j’ai tout de suite pensé à ses prédécesseurs, y voyant des similarités dans le traitement de la lumière et de l’empâtement par l’utilisation de la spatule, qui jette l’emphase sur les lignes droites et ajoute de la géométrie à l’environnement naturel. Si l’on ne peut pas associer Les vieilles maisons du bas de la ville au modernisme du début du siècle à cause de la date de création de la peinture (1983), on peut toutefois dire que Plante, avec cette œuvre, s’inscrit dans ce que l’on pourrait appeler du post-régionalisme. …